Pour une fois, si vous le voulez bien, on va parler bouquins. Mais bouquins qui parlent de musique quand même.
La collection 33 1/3 est une série de livre se consacrant à la genèse d'un album en particulier. Pour l'aborder, Joy Division me semblait un bon choix. Parce que j'adore cet album tout d'abord. Ensuite parce que je connais pas si bien la trop courte carrière des Mancuniens.
S'attarder sur l'orgine de Unknown Pleasures, c'est remonter aussi loin qu'il est possible, c'est à dire aux premiers soubresauts du punk, quand le groupe s'appelait encore Warsaw. Et parler de Joy Division, c'est terminer par le suicide du chanteur. Qui a plus cédé à l'épilepsie qu'à une trop grande mélancolie (un peu des deux tout de même). Ce parcours restreint permet de passer toutes les sessions d'enregistrement en vue et de suivre pas à pas une progression extrêmement rapide, qui va jeter les bases de plein de tendances et dont l'écho est toujours extrêmement actuel. On apprendra aussi l'importance du producteur Martin Hanett dans la confection de cet album qui est toujours, 28 après sa sortie, aussi compact, noir et vraiment indispensable. Il fait partie de cette courte liste d'albums qu'on peut parfaitement ne pas aimer mais qu'il est imprudent d'ignorer si on veut un tant soit peu connaître le rock pris dans son acception la plus large.
A la fin du bouquin, on n'a qu'une seule envie, se rue sur Heart And Soul, l'exhaustive discographie de Joy Division. Etant donné qu'ils ont duré un peu plus de trois ans et enregistré deux albums studio, elle se contente de quatre CD, dernier concert compris. Tout y est, n'allez pas plus loin.
Un dernier mot pour vous dire que l'auteur est d'une compétence jamais prise en défaut et qu'il a collaboré à Pitchfork et je peux vous mettre un lien sur la liste complète des titres disponbles dans la collection: http://en.wikipedia.org/wiki/33%E2%85%93
La collection 33 1/3 est une série de livre se consacrant à la genèse d'un album en particulier. Pour l'aborder, Joy Division me semblait un bon choix. Parce que j'adore cet album tout d'abord. Ensuite parce que je connais pas si bien la trop courte carrière des Mancuniens.
S'attarder sur l'orgine de Unknown Pleasures, c'est remonter aussi loin qu'il est possible, c'est à dire aux premiers soubresauts du punk, quand le groupe s'appelait encore Warsaw. Et parler de Joy Division, c'est terminer par le suicide du chanteur. Qui a plus cédé à l'épilepsie qu'à une trop grande mélancolie (un peu des deux tout de même). Ce parcours restreint permet de passer toutes les sessions d'enregistrement en vue et de suivre pas à pas une progression extrêmement rapide, qui va jeter les bases de plein de tendances et dont l'écho est toujours extrêmement actuel. On apprendra aussi l'importance du producteur Martin Hanett dans la confection de cet album qui est toujours, 28 après sa sortie, aussi compact, noir et vraiment indispensable. Il fait partie de cette courte liste d'albums qu'on peut parfaitement ne pas aimer mais qu'il est imprudent d'ignorer si on veut un tant soit peu connaître le rock pris dans son acception la plus large.
A la fin du bouquin, on n'a qu'une seule envie, se rue sur Heart And Soul, l'exhaustive discographie de Joy Division. Etant donné qu'ils ont duré un peu plus de trois ans et enregistré deux albums studio, elle se contente de quatre CD, dernier concert compris. Tout y est, n'allez pas plus loin.
Un dernier mot pour vous dire que l'auteur est d'une compétence jamais prise en défaut et qu'il a collaboré à Pitchfork et je peux vous mettre un lien sur la liste complète des titres disponbles dans la collection: http://en.wikipedia.org/wiki/33%E2%85%93
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