On connaissait déjà les énervés de 65 Days Of Static. Par leur premier LP tout d'abord (One Time For All Times), par leurs incendiaires prestations live ensuite. C'est que ces rythmes hallucinants sont dus (en majorité du moins) à un être humain. Ou assimilé tant l'abattage est impressionnant.
On peut dire que sur ce The Destruction Of Small Ideas l'univers reste le même: batterie imprévisible et puissante, guitares énervées et puissantes, mélodies au piano, puissantes aussi. Ils tentent juste une incursion dans l'électronique plus basique et c'est un peu moins bien.
Le gimmick piano doux/guitare dure fonctionne toujours en plein. Ils ont un style bien à eux. Si le procédé est connu a priori, les titres s'enchainent sans ennui. On attend toujours les orages de cette musique et on n'est jamais déçus. Ils savent comment faire fonctionner une accélération. A aucun moment on ne regrette la présence d'un chant (c'est du post-rock, je vous avais pas dit?). Que du contraire même.
Plus de précisions, commentaires et arguments bientôt sur le vrai site.
On peut dire que sur ce The Destruction Of Small Ideas l'univers reste le même: batterie imprévisible et puissante, guitares énervées et puissantes, mélodies au piano, puissantes aussi. Ils tentent juste une incursion dans l'électronique plus basique et c'est un peu moins bien.
Le gimmick piano doux/guitare dure fonctionne toujours en plein. Ils ont un style bien à eux. Si le procédé est connu a priori, les titres s'enchainent sans ennui. On attend toujours les orages de cette musique et on n'est jamais déçus. Ils savent comment faire fonctionner une accélération. A aucun moment on ne regrette la présence d'un chant (c'est du post-rock, je vous avais pas dit?). Que du contraire même.
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